trips et fantasmes

Mardi 5 décembre 2 05 /12 /Déc 22:32
(...) Les deux autres Arabes nous ont emboîté le pas, un bon quart d'heure de marche dans les ruelles de la ville, c'est un des deux arabes qui nous guide. Arrivés à un immeuble dans un quartier que je ne connais pas. On me fait monter un escalier sombre. Khaled me fait passer devant. Un des mecs prononce de brèves paroles. en arabe Khaled rigole. "Il a dit qu'il n'a pas bien vu ton cul tout à l'heure. Tu vas faire ce qu'il te demande. Ils parlent entre eux. Longue palabre en arabe. Ils m'ignorent superbement Ils sourient les trois. "Laisses ton pantalon et ton slip ici, tu récupéreras tes affaires au retour. Ils veulent voir ton p'tit cul de gonzesse monter l'escalier". Comme je reste immobile, c'est un des deux inconnus qui me baisse rapidement les vêtements autour des chevilles. Mon pantalon et mon slip restent sur la première marche. Nu à partir de la taille, je monte les marches devant eux. L'escalier est interminable, sans aucun palier. De temps en temps on me pousse ou me caresse les fesses. J'arrive enfin devant une porte. Nous entrons. C'est une petite pièce avec des grandes ouvertures dans les murs crépis. La presque totalité du sol est jonché de linge en ballots. Des grands draps en tas aux quatre coins de la pièce. C'est dans cette pièce que tous les habitants de l'immeuble mettent leur linge sale avant de le laver et l'étendre sur la terrasse derrière cette porte. Les grandes fenêtres sont sans aucune protection et les lumières de la ville nous éclairent Les deux mecs sont venus m'entourer. Ils parlent à Khaled tout en me palpant : les cuisses. Les fesses. La taille et bien sur la raie. "Allez-y mes frères. Il est à vous" Khaled s'est assis sur un tas de linges. Les deux Arabes, la quarantaine environ, semblent impatients et veulent profiter de l'aubaine rapidement. Ils m'ont débarrassé de mon dernier vêtement et m'ont poussé vers le sol. Je me suis retrouvé en levrette, à poil, sur un tas de linge qui sentait la sueur. Un des mecs m'a obligé à lever la tête. L'ai compris ce qu'il voulait et j'ai ouvert la bouche sans aucun mouvement de révolte.
- "Tu aimes vraiment être traité comme une pute toi."
La bite qui s'est plantée dans ma bouche ouverte sentait très fort la sueur et la pisse. Le type a tiré mes cheveux vers sa chemise. Le pieu chaud s'est planté dans ma bouche.
"Allez montre lui comme tu suces bien." L'autre m'a palpé le derrière. J'ai les fesses écartées. Un peu de salive. Un sexe dans ma raie à la recherche du passage. Des mains sur mes hanches. Mon cul s'ouvre maintenant sans difficulté. Le sexe s'enfonce dans mon intimité. L'arabe pousse son engin au fond. Mon cul avale la totalité du morceau sans aucun problème. Je me laisse utiliser par mes deux trous devant Khaled. J'avais une bite dans la bouche et l'autre plantée dans mon cul. J'imaginais Khaled en train de regarder la scène et savourant son emprise sur moi. Il devait bien bander en voyant son ami le céfran se transformer en pute.
- "Tu es une bonne tapette, dommage que Hugo n'est pas là pour te voir".
Les deux arabes ne disaient rien, se contentant de me bloquer la bouche et le cul. Donnant des coups de reins vigoureux. J'avais du mal à garder la position. C'est eux qui me tenaient Ils haletaient en crachant des interjections dans leur langue. Ils me traitaient comme une chose, un objet Ils m'utilisaient pour leur plaisir. "Ils disent que t'es une vraie pute. Qu'ils vont t'éclater le cul et la bouche". Les mecs ont ralenti la cadence. Ils font coulisser leurs centimètres de chairs brunes doucement Ils veulent profiter à fonds d'une bonne salope comme toi. Avec leurs femmes, ils ne peuvent pas faire ce genre de trucs. Au bout d'un moment les bites m'ont libéré. Je me suis affalé sur le sac de linge sale, mais ils ne m'ont laissé aucun répit et m'ont retourné à plat ventre. Ils n'avaient même pas ôté leurs pantalons. Les pans de leurs chemises blanches cachaient leurs fesses et leur bas-ventre. Leurs sexes bruns et circoncis pointaient fièrement. Un des mecs s'est mis à genoux au-dessus de ma tête, m'emprisonnant entre ses cuisses musclées. Il était très poilu. Il s'est baissé et ses couilles se sont posées sur mon visage, il frottait ses fesses velues contre ma face. Mon nez plongeait dans sa raie. "Maintenant, tu vas lui bouffer le cul comme une professionnelle." Je me suis exécuté. puis, l'autre m'a levé les jambes à la verticale. La position qu'ils m'avaient fait prendre dégageait complètement ma raie. J'avais l'anus offert. Ils ont parlé en arabe. "C'est dommage que tu ne te vois pas dans cette position. Avec le cul en l'air et le trou bien offert. Ils veulent voir la taille de ton trou." Je ne pouvais ni parler ni crier. Le mec m'a pris par les cuisses et m'a tiré vers lui. Sa bite s'est enfoncée en moi sans aucun problème. Je sentais mon muscle se dilater. "Il veut que tu lui lèches le cul. Dommage que Hugo ne peut pas te voir".
Ma langue s'est mise à nettoyer sa rosace. Mon enculeur donnait de violents coups de reins en me tirant en même temps vers lui. Sa bite tapait au fonds de mon ventre. J'avais l'impression que mon cul allait éclater à chaque fois que le sexe coulissait en moi. Je ne pouvais pas bouger et ma bouche ouverte gémissait contre l'anus d'un de mes agresseurs. "Il dit que tu as le cul bien ouvert, il ressemble à une chatte Dommage que tu ne mouilles pas autant qu'elle". J'avais l'impression que mon cul était béant. J'étais complètement ouvert et offert à ces deux arabes qui me traitaient de la pire des manières. J'étais leur chose avec la bénédiction de Khaled qui nous regardait assis dans son coin. Ils ont plusieurs fois échangé leur place. Mon cul les recevait sans aucun problème et restait ouvert. Les deux Arabes ont mis du temps avant de jouir. Ils se servaient de ma bouche et de mon cul sans aucun ménagement. J'étais assez surpris de pouvoir supporter un tel traitement Quand ils m'ont lâché. J'avais l'impression d'être complètement disloqué. Je me suis écroulé sur le ballot de linge. Les autres ont allumé des cigarettes. Ils parlaient à Khaled. Ils ont éteint leurs clopes. J'ai vu leurs chaussures revenir. "Tu leur fais de l'effet, ils ont encore envie de toi. On a encore le temps, la fantasia n'est pas finie. Ils veulent continuer à te monter". Ils m'ont sodomisé à plusieurs reprises, et n'ont pas eu besoin de rajouter de la salive. J'étais complètement cassé. Ils ont chacun joui plusieurs sur mon visage et sur la raie de mon cul. Quand ils ont fini de prendre leur plaisir, j'avais l'impression que mon trou ne se refermerait plus. Je me suis relevé j avais honte. J'avais du mal à me rhabiller et encore plus à marcher. Nu et le cul et la face inondé. J'ai remis mes affaires après m'être essuyé avec mon slip. "Tu 'as intérêt à bien serrer les fesses si tu veux pas tacher ton beau pantalon". Les deux autres ont ri à la remarque de Khaled. Dans la rue, le spectacle était fini. Je marchais comme un somnambule à côté de Khaled. Les deux autres nous avaient quitté. Nous nous sommes arrêtés devant une fontaine publique. "Nettoie toi sinon Hugo ne va pas comprendre". Je me suis aspergé le visage. C'est tout ce que je pouvais laver. J'avais mal au ventre et aux mâchoires. Je serrais les fesses. Khaled m'a montré plusieurs billets de cent dirham "Ils ont été très généreux !" J'étais abasourdi. Ainsi donc, il m'avait vendu à ces deux mecs ! C'était donc vrai que j'étais sa pute ! (à suivre...)
Par Monluc - Publié dans : trips et fantasmes
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Mercredi 8 novembre 3 08 /11 /Nov 19:47

Avec un ami, je passais quelques jours de vacances au Maroc. Nous étions déjà à la moitié de notre séjour. Nous assistions à une fantasia avec deux mecs arabes rencontrés dans le zouk quelques heures plus tôt : Khaled et Mourad. Les coups de feu tonnaient sans discontinuer. La fantasia battait son plein. Tout le monde avait les yeux tournés vers le centre de la place où se déroulait le spectacle. Khaled était avec moi, Mourad un peu plus loin avec mon pote Hugo. Khaled depuis plusieurs minutes profitait de la pression de la foule pour se coller dans mon dos. Je sentais régulièrement ses mains toucher mes fesses. Je n'ai pas eu le temps de réagir quand, d'un mouvement rapide, il m'a baissé le pantalon de jogging et mon slip juste sous les fesses. Complètement paniqué, j'ai sursauté. J'avais le cul à l'air au milieu de cette foule compacte qui me collait de toute part. C'était complètement dingue. Même si personne ne faisait attention à nous, on risquait d'être surpris. Les deux Arabes les plus proches de nous avaient certainement vu mon cul. Ils me regardaient maintenant avec intensité. Khaled m'a remonté le pantalon aussi précipitamment qu'il l'avait baissé. Le tout avait duré à peine quelques secondes. Je tremblais. "Ils aiment ton petit cul de céfran" me souffla Khaled dans l'oreille. Un des mecs s'est approché, a parlé à Khaled et l'autre a ajouté quelques mots. La discussion s'est engagée entre eux. Je ne savais pas de quoi ils parlaient. Mais je me doutais bien que je faisais partie de cette discussion. Au milieu de la place, les cavaliers se déchaînaient dans des joutes acrobatiques. Je regardais sans rien voir. "Ils veulent encore voir la marchandise" me souffla Khaled en posant ses mains sur mes fesses.
- "Non Khaled. S'il te plaît arrête. On risque de se faire prendre.
- On va encore leur monter tes petites fesses.
Khaled a de nouveau baissé l'arrière de mon pantalon. Cela a duré un peu plus longtemps que la fois précédente. Il a même écarté mes fesses avant de remonter le tissu. Les deux Arabes n'ont bien sur rien perdu du spectacle. Je tremblais de honte et aussi d'envie. Je n'arrivais plus à voir où étaient Hugo et Mourad. À nouveau je sentais des mains sur mes fesses, mais ce ne sont pas celles de Khaled. Un des mecs parle. "Il dit que tu as de très belles fesses" me traduit Khaled. Je me laisse caresser. Khaled leur parle à nouveau en arabe et je ne sais pas comment les autres peuvent comprendre ce qu'il leur dit vu le vacarme de la foule et des cavaliers. Je ne vois toujours pas Hugo et Mourad.; Khaled me parle à l'oreille. Ils ont envie de te niquer. Ils disent qu'avec tes cheveux longs et ton petit cul tout blanc, tu dois être un bon coup à tirer. Je frémis de peur et de confusion. Je ne veux pas de ce genre de truc. Mon coeur bat la chamade et je tremble. J'ai un mouvement de révolte. Pourtant je n'arrive pas à lui fdire non en face et c'est cela qui me trouble et me rend aussi passif. Nous nous regardons. Il sourit. "Je vais leur dire que je suis d'accord pour leur prêter ton cul".
- Non. Non Khaled. S'il te plaît.
- Ta gueule, fais ce que je te dis. Et puis d'abord pourquoi tu dis non tu aimes ça ! Non je ne veux pas. S'il te plaît. Ta gueule tu n'as rien à vouloir. Les deux autres attendent patiemment et je savais que la partie était perdue d'avance avec Khaled.

Pour lui, j'étais sa femme et je devais lui obéir. Pire, j'étais sa pute. La deuxième fois que nous nous sommes retrouvés seuls lui et moi dans notre chambre, il avait trouvé un slip de femme. Ce jour-là, il était de mauvais poil, agressif. Le geste brusque. Il a pris le slip dans sa main et l a serré de toutes ses forces. Qu'est que tu attends pour te foutre à poil ! Je me suis lentement déshabillé pour rester nu devant lui attendant son bon vouloir. Il m'a jeté le slip au visage. Il m'était impossible d'accepter ce qu'il me demandait et j'ai osé refuser. Il s'est jeté sur moi. J'ai essayé de résister, mais je ne faisais pas le poids. il m'a rapidement immobilisé sur le sol, face contre terre et le bras bloqué dans le dos. Je vais te faire obéir moi. Tu n'es qu'une petite pute qui mérite une bonne raclée.
Il m'a alors donné une fessée magistrale , il m'a assené une volée de claques sur les fesses. Il a continué jusqu'à ce que je le supplie d'arrêter. J'avais trop mal aux fesses.
- C'n'est pas fini le français. Il faut que tu le demandes poliment.
Les claques résonnaient durement sur ma peau rougie. Je me tortillais pour échapper aux battoirs qui tombaient à intervalles réguliers. J'ai supplié. Je lui ai dit que je ferais tout ce qu'il voulait.
- La prochaine fois que tu me désobéis c'est avec le ceinturon que je te corrige. Enfile cette culotte de gonzesse. J'ai fais ce qu'il m a demandé, il m a ensuite demandé de m'allonger.
J'étais au sol, sur le ventre, le cul chauffé par les coups et offert. Il a sorti son chibre , a écarté un des pans de la culotte et a glissé sa queue par le côté entre mes fesses , il a commencé à me sodomiser ; je serrais les dents en sentant ma rondelle s'ouvrir avec son membre qui coulissait dans mon trou. À partir de ce jour je ne me suis plus rebellé j'ai exécuté toutes ses envies de plus en plus dominatrices et humiliantes.

Le spectacle de tous ses chevaux rassemblés sur la place était splendide. Mais je n'y faisais pas attention; allez viens suis moi ! Les deux autres Arabes nous ont emboîté le pas, un bon quart d'heure de marche dans les ruelles de la ville, c'est un des deux arabes qui nous guide. Arrivés à un immeuble dans un quartier que je ne connais pas. On me fait monter un escalier sombre. Khaled me fait passer devant. Un des mecs prononce de brèves paroles. en arabe Khaled rigole. "Il a dit qu'il n'a pas bien vu ton cul tout à l'heure. Tu vas faire ce qu'il te demande.

Par Monluc - Publié dans : trips et fantasmes
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Samedi 21 octobre 6 21 /10 /Oct 17:48
J'avais répondu à son annonce. Je connaissais juste sa voix au téléphone et son visage sur une photo envoyée par email. Il était brun, belle gueule, les yeux très noirs, typé sud-ouest ou méditerranéen, la trentaine. Mon dressage commençait ce soir. A part un trip "baise-bandeau sur les yeux-les mains attachées dans le dos" avec un inconnu, c'était la première fois que je me soumettais ainsi à la volonté d'un autre.
Il m'avait donné le nom de la station ou je devais me rendre juste avant 23h00. Après 23h la ligne était fermée pour travaux. Je devais me mettre dans un des couloirs inutilisés de la station dont l'accès était fermé par une simple chaîne et l'attendre. Il n'y avait rien à craindre m'avait-il dit : " c'est un coin désaffecté. Je vais pouvoir m'occuper de ton dressage de salope toute la nuit jusqu'à la réouverture à 5h00 du mat ! "
En jean et t-shirt je devais l'attendre. "Sans slip sous le fût, à quatre pattes, les yeux baissés et le cul graissé et je ne veux pas entendre un mot si ce n'est tes gémissements de chienne".
22h55, j'arrive à la station, je descend l'escalier, je mets mon ticket dans l'appareil. Je passe vite le portillon et me voilà sur le quai. Il n'y a que quatre ou cinq personnes, des hommes; qui attendent la dernière rame. Peut être mon maître est-il un de ceux-là. ?
Je vais jusqu'au bout du quai, personne ne me prête attention. Voilà le couloir désaffecté, un bref regard circulaire et je passe au dessus de la chaîne qui barre le passage. Me voilà à l'abri des regards. Debout, dans un recoin sombre, la seule lumière vient du quai. J'entends le bruit de roulement du dernier métro. Les portes s'ouvrent. Brève sonnerie. Les portes claquent. La rame redémarre. Me voilà vraiment seul maintenant. Je pressens que la haut on a déjà fermé les grilles.
Je dois me dépêcher. Je dois être prêt comme il me l'a demandé. Je sors de ma poche de jean un tube de gel. Je baisse mon froc, je le laisse tomber sur mes chaussures. J'ai les fesses et la queue à l'air comme un gamin pris en faute.
Je mets du gel sur le bout des doigts. Je m'enfonce un premier doigt dans le cul; puis un deuxième. Je remets une couche de gel. Je me graisse vraiment le cul là. C'est du "hot". Je le sens qui me chauffe l'intérieur. Mon trou connait cette sensation. Il sait que cette impression de vide et de chaleur précéde la pénétration d'une bonne bite. C'est lui qui me force à faire tout cela. A ces moments là je ne suis plus qu'un trou à remplir. Mais ce soir c'est différent je vais offrir mon cul, ma bouche, mais aautre chose aussi. Je vais m'oublier et obéir à la volonté d'un autre. La crainte commence à monter en moi. Mais je ne peux plus reculer. La lumière du quai vient de s'éteindre. Je suis dans le noir complet. Le cul graissé et le fût sur les chausettes !
J'ai froid, je tremble de la tête au pied. J'entends un pas qui se rapproche. Un faisceau de lumière.
Une lampe torche. J'essaye de deviner une silhouette mais d'un seul coup j'ai la lumière dans les yeux, je ne vois plus rien. "Baisse les yeux ! Je t'avais dit de m'attendre à quatre pattes comme une chienne obéissante que tu es ! à terre !"
Sans réfléchir j'obéis. Pris dans la lumière comme un insecte, je me retourne, je me plie en deux, les mains à terre, le cul offert.

"Ecarte bien ! Oui comme ça !" Avec son pied il me force à ouvrir au maximum les jambes mais mon pantalon baissé me bloque. "Putain ce cul que tu as !" Je sens qu'il dirige sa lampe au plus près de mes fesses. Je sens la chaleur dégagée par la lampe torche sur ma peau. "tu as la raie aussi poilue que la chatte d'une gonzesse" Une main glacée me pétris le cul. Un doigt glisse dans ma raie, cherche la fente et trouve. Sans hésitation, il enfonce son doigt et le retire aussitôt. "Tu t'es graissé le fion, tu as le cul propre, comme une bonne professionnelle, c'est bien."
"Le trou est chaud et humide." A la manière d'un garçon d'écurie il me flatte l'arrière-train comme si j'étais une jument en chaleur, prête à se faire saillir.
"La bouche maintenant : à genoux, les mains derrière le dos !" J'obéis. Il a posé sa lampe. Les yeux baissés je ne vois que le bas de ses jambes, il a un jean délavé et des tennis. Il se tient droit devant moi. Il me domine. "ouvre ta gueule petite larve" Une main derrière ma nuque; il me rentre de force cinq doigts dans la bouche et les écarte au maximum. J'ai l'impression que ma machoire est au maximum. "Bien un bon garage à bites que cette gueule là aussi !
Tu as vraiment des lèvres de suceuses ! Elle en a sucé combien ?
T'as commencé à sucer des queues à quel âge ?
Au collège t'étais la pipeuse attitrée des vestiaires de sport non ? Après le foot et avant les douches tu vidais les couilles de toute l'équipe je suis sûr !
" Il retire ses doigts de ma bouche et me plaque le visage sur la bosse de son entre-jambe."Tu la sens ma queue non ? Tu aimerais bien la voir hein ! la renifler avant de l'enfourner je suis sûr ! T'inquiétes ça va venir !"

(à suivre...)
Par Monluc - Publié dans : trips et fantasmes - Communauté : VIVRE TOUS SES FANTASMES
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