J'étais donc à l'armée au début de mon service militaire. Je venais d'avoir 20 ans et j'étais puceau et encore bien innocent. On me disait assez mignon et j'avais notamment de belles fesses bien
cambrées. Avec mes camarades nous partagions une chambrée de six. Certains parlaient de leurs expériences sexuelles avec les filles et moi, je me taisais.
Ce soir là, après l'appel, les mecs de la chambrée (quelques petites bouteilles aidant) me semblaient plus excités que d'habitude. La conversation était au cul. Et Bertrand qui avait probablement
des doutes sur moi essayait de me questionner sur mes "expériences" à ce sujet, mais en vain. Et tout d'un coup, Bertrand s'écria:
"Et si on bizutait ce petit puceau ?" Et avant que j'aie eu le temps de réagir, 5 des mecs de la chambrée me saisirent. Sur le moment
je ne me débattais pas, espérant une plaisanterie. "Descendons à la salle de gym," dit Bertrand. À 5, ils n'eurent aucun mal à me transporter à l'étage du dessous. "Foutez-le à poil," commanda un des mecs. Et en quelques instants, mon survêtement, mes chaussettes et
mon slip volèrent à travers la pièce. "Attachons-le au portique," dit Vincent, un mec blond pour qui je craquais secrètement. "Et rasons-lui les poils du sexe et du
cul," dit Franck. "Comme cela ce sera un vrai puceau" .
Ils m'avaient attaché aux poignets et aux chevilles de telle façon que je me trouve les bras et surtout les jambes bien écartés. Frank revint avec paire de ciseaux, rasoir et mousse. Je me disais
que si cela s'arrêtait là, ce ne serait pas désagréable ne tenant pas particulièrement à ces quelques poils et puis les mecs n'étaient pas méchants et semblaient plutôt avoir envie de
rigoler.
"Vincent, c'est toi le coiffeur dans le civil alors vas-y," Vincent prit les ciseaux et s'attaqua aux poils de mon pubis.
Les poils tombaient par touffes par terre. Puis il attrapa ma bite la souleva pour couper les poils sur les
couilles. C'était la première fois qu'un mec me touchait à cet endroit .
Puis il prit la bombe de mousse et commença à me l'appliquer partout y compris dans la raie des fesses. Il en profita alors pour me glisser un doigt dans le trou du
cul. Les autres ne pouvaient pas le voir et bien que j'aie apprécié la manoeuvre, je le traitais de salaud. Mais il ne dit rien et se contenta de me regarder dans les yeux avec son petit
sourire enjôleur.
Puis Vincent prit le rasoir. "Ne bouge pas sinon je te coupe," me dit-il, "et de toute façon dans 5 minutes tu n'auras plus un poil même si tu bouges." De sa main droite, il me rasa le bas-ventre
et les boules, me soulevant mon système 3 pièces de sa main gauche. Je me retenais de ne pas bander. Quelques minutes après, il s'attaqua à la raie des
fesses. Il demanda de l'aide aux autres afin qu'ils m'écartent bien les jambes et les fesses. Il me remit un doigt dedans en disant aux autres: "J'en connais une qui serait bien là
dedans."
Mais les autres qui regardaient la scène depuis le début commençaient à en avoir assez.
D'ailleurs Gérard proposa aux autres de me laisser et d'aller prendre un pot en ville. "Détachez-moi," leur demandai-je. "Certainement pas," dit Frank. "On va te laisser là et prévenir les
légionnaires qui sont à l'étage au-dessus qu'il y a un mec attaché et à poil dans la salle de gym et qu'il a envie de se faire enculer, et comme ça, tu ne seras plus puceau," ajouta-t-il. Et il
me fit rattacher pasr les autres au portique dans une autre position: sur un tapis de sol, à genoux en levrette, les jambes bien écartées. J'étais à la merci
du premier mec venu et je commençais à avoir la trouille.
Ils partirent en riant, fermant la lumière et me laissant dans la pénombre. Dix ou quinze minutes s'écoulèrent quand j'entendis la porte s'ouvrir et se refermer à clef. Une personne était entrée
mais je ne pouvais la distinguer. Le mec s'approcha et je ne le voyais toujours pas. Il me caressa longtemps partout, le dos, les bras, les jambes, le ventre et pour finir et encore plus
longuement les fesses et mon trou et enfin ma bite et mes couilles. Puis il recula et j'entendis un froissement de tissu: il se déshabillait.
Sans prononcer une parole, il se coucha sur moi. Son corps était chaud, je sentais sa queue bandante sur la raie de mes fesses. Il était plus grand que moi et je sentais son souffle sur la nuque.
Il me tourna la tête, je sentis ses lèvres sur ma bouche et il m'embrassa. Je me laissais faire.
Il passa ses lèvres et sa langue sur mon dos et descendit lentement jusqu'aux fesses qu'il embrassa et mordilla. Puis de ses 2 mains chaudes il m'écarta les fesses
et me lécha le trou du cul, j'en tremblais. Il entra sa langue au maximum et me bouffa littéralement le cul. Inutile de vous dire que j'avais une trique d'enfer. Puis il passa la tête sous
mon ventre attrapa ma bite et la mit dans sa bouche. Il me pompait doucement en me caressant le trou du cul. Puis il accéléra le mouvement en me rentrant un doigt dans le fion. Je ne pouvais plus
me retenir et m'écriai: "Je vais jouir!" Il ne quitta pas ma bite et pompa de plus belle, son index gauche dans mon cul et sa main droite qui me branlait. Ce fut l'explosion dans sa bouche et à
ma grande surprise il ne se retira pas et avala tout mon foutre. Il continua encore quelques instants de me lécher et de me caresser.
Puis il se releva, se mit devant moi et toujours sans un mot posa sa bite sur mes lèvres. Je ne voyais toujours pas sa tête, mais je voyais bien sa belle
tige. Je ne pouvais plus refuser et ouvris la bouche pour le sucer. Mais rapidement, il se retira sans doute insatisfait d'une pipe sans les mains. Puis il vint se positionner derrière moi. Je
sentais sa bite raide et encore baveuse se balader dans ma raie des fesses. Bien qu'aillant un peu peur de ce bel engin et à l'idée que j'allais y passer, je lui dis: "Baise-moi, encule moi... j'ai envie."
Je sentis alors son gland qu'il positionna sur mon trou du cul. Puis il appuya d'un coup sec et entra
brutalement. Il m'avait tellement léché et préparé que je n'avais pas mal. Je me sentais seulement coupé en deux par ce gros bâton. Il prit le mouvement de va-et-vient, ressortant presque parfois
pour mieux rentrer brutalement à fond. je gémissais. Il accéléra encore le mouvement et se bloqua au fond de mon cul. Je l'entendis jouir.
Et voilà, j'étais baisé, j'étais un "enculé". Mais que c'était bon. Il se retira doucement et s'allongea sur moi en m'embrassant. C'est là que je l'ai
reconnu. C'était Vincent.
Il me détacha. Je restais à terre. Il quitta la pièce en me disant qu'il me baiserai régulièrement le cul et la bouche maintenant que j'étais dépucelé.
Enfin la vraie vie! Il était temps. J'avais 18 ans, je venais de réussir mon bac et mes parents m'avaient autorisé à partir en vacances
avec un copain de mon âge. Pas très riche, c'était plutôt le plan camping. On partait avec une idée bien arrêtée de se faire le max de filles
possibles.
Alexandre était plutôt mignon, bien bourge catho sportif ancien scout. Moi mes parents étaient boulangers - et bon, j'étais fier d'être son pote. Je sais que ça fait un peu «moi, mon papa il est»
mais bon on se refait pas.
De mon coté j'étais plutôt mignon mais je ne le savais pas vraiment : 1m81, 70kg, cheveux blonds courts, yeux verts. Je me fringuais surtout en fringues de sport et avais claqué un peu de mes
économies pour m'offrir bermuda et polo comme Alexandre.
Alexandre, lui n'était évidemment plus puceau - moi j'avais juste embrassé une fille, pas vraiment belle.
Il faisait beau, un matin d'août nous avons débarqué du train de nuit dans une petite gare loin de tout. Cela sentait bon la station balnéaire. On avait décidé de vivre chacun de notre côté, le
but de notre alliance étant plus d'échapper aux parents que de se coller le train. Enfin, pendant la première semaine, j'ai bien essayé de coller au train d'Alexandre. Mais bars branchés,
discothèques, restaux, ça te ruine assez vite.
Après avoir admiré Alexandre draguer tout ce qui bouge, et revenir le matin vers 9h après avoir baisé la fille qu'il avait dragué, lui avoir fait son petit dej - j'étais sans le sous. Je l'ai
donc laissé sortir seul juste avant la ruine totale.
Bien sûr on dormait dans la même tente et cette promiscuité forcée avait éveillé chez moi des envies à me faire triquer comme un âne. Il s'affalait tard le soir à
côté de moi, puant l'alcool, la sueur et parfois le parfum de la fille qu'il avait baisé. Parfois il ne prenait pas le temps de se dessaper, souvent il se mettait en calcif, une fois il
est resté à poil, sur le dos: endormi, il avait la trique, sa queue me donnait envie, un soir j'ai même osé la toucher. Il ne s'est rendu compte de rien. Du
moins je crois.
La deuxième semaine de vacances au camping était pour moi pleine d'ennui. Le soir je traînais dans la rue en sachant trop bien que tout était trop cher. Alexandre dépensait et s'amusait.
Il était déjà tard, j'étais assis dans un coin sombre d'une cafétéria, à attendre je sais pas trop quoi. Il y avait un jeune serveur, à peine 20 ans, beur, en pantalon noir, chemise blanche, qui
allait et venait. Je le regardais avec insistance et il s'en était rendu compte. La cafétéria allait bientôt fermer. Je sortis et sans savoir pourquoi je me mis à attendre dans la cour
arrière de la cafét, dans la pénombre, assis sur des cageots.
Soudain, la porte de service s'ouvrit, il faisait sombre et le jeune serveur beur me rentra presque dedans.
- Pardon, excuse, ça va ?
- Ouaih t'inquiètes, pas de mal.
- Ben tu fais quoi là à attendre dans le noir ?
- rien, je glande.
- Moi c'est Kader, toi?
- Moi Loic.
Et là, je sais pas pourquoi, son sourire peut-être, mais je ne résistai pas au soulagement de tout lui dire:
- Oh tu sais, c'est galère, suis parti en vacance avec un pote friqué mais j'arrive pas à suivre, alors je traîne en attendant la fin des vacances.
- Tu veux boire un verre? (silence) OK je te l'offre. On va chez moi.
Et il me décoche un sourire que rétrospectivement je comprends mieux.
Me voilà à 2h du mat la tête plaquée sur le dos d'un arabe à l'arrière d'une moto fonçant vers les chantiers. On s'arrête en bas d'un immeuble genre HLM en moins bien. Il descend :
- Voilà ! C'est un foyer mais en été il est à moitié vide et il loge n'importe qui. He, Ça va?
Je devais faire une drôle de tête. Je force un peu mon sourire, je suis loin de mon camping, sans moyen de locomotion, ça doit se voir.
- Tu pourras dormir là si tu veux, c'est vide je te dis.
Il monte sans plus attendre, des couloirs un peu sordides, tout le monde dort. Il me fait passer dans sa piaule. Il y a deux lits superposés mais de fait, personne n'y dort et un seul lit est
équipé de draps. Il ressort, revient avec une glacière, sort deux bières, ramasse un tabouret, les ouvrent et pose les deux cannettes dessus. Je m'assoie sur un lit sans rien dire.
- À ta santé!
On vide les deux canettes. Il a viré ses pompes et ouvert sa chemise laissant apparaître un torse imberbe athlétique mat de peau. Son odeur de mec se répand dans la
pièce. Deux nouvelles cannettes. Il me fait parler d'Alexandre. On lui casse du sucre dessus. Encore deux canettes. Je baisse les yeux à terre, rougis. L'odeur de son intimité me fait suer de la raie comme une salope qui mouille, je me racle la gorge:
- Écoute je vais partir.
- À genoux putain et suce, t'en meurs d'envie!
Je ne sais pas pourquoi je l'ai fait mais lentement, j'ai obéis et me suis mis à genoux devant lui, bouche ouverte au milieu de la piaule. Il me prend la tête
et pose son gland sur mes lèvres. L'odeur de pisse qu'il exhale me fait presque jouir dans mon fut.
Je le lèche et réalise alors que j'avais toujours rêvé de faire cela avec la bite d'Alexandre. Il s'enfonce dans ma bouche lentement mais sûrement. Je lève
les yeux. Il regarde le plafond et guide ma bouche en me tenant au menton et au front.
Il se retire, me fais lécher ses couilles, puis se réintroduit - là, je fais moins gaffe, laisse traîner mes dents. La réaction ne se fait pas attendre, il se retire d'un coup, me flanque une
baffe.
- Eh pédé, c'est pas une brosse à dent, compris?
Je comprends à peine ce qui m'arrive, suis fatigué, un peu saoul, meurtri, les larmes me montent aux yeux. Son regard change, il se couche à coté de moi, m'embrasse sur le front doucement: -
Pardon, désappe toi, on sera mieux.
Il se lève et se couche sur son lit. Je me lève à mon tour, me dénude devant lui, un peu honteux de ma bite de 15cm seulement qui se dresse toujours et le rejoins encore heureux qu'un tel mec
m'accepte. Il s'allonge sur le dos, mains sous la nuque et ferme les yeux.
- Vas-y régale toi!
Sa bite est raide comme un piquet. Je l'engloutis. Il me tient la tête et me force à en prendre un peu plus à chaque fois, pénètre dans ma gorge, des larmes coulent de mes yeux, du sang de mes
lèvres. Ses coups de bites se font de plus en plus brutaux, et là, je manque de vomir. Il se retire en me tirant par les cheveux.
- Putain tu fais chier...
J'ai de la bave plein le menton qui coule sur son lit.
- Oh merde salaud, quels crado ce mec!
Il me fait mettre sur le ventre sans ménagement et se couche sur moi, il prend un préservatif, je sens sa raideur dans ma raie. Là j'ai peur, je comprends et vais
crier que déjà il m'enfonce son slibard pisseux dans la bouche, tient de l'autre main mes deux poignets dans mon dos et s'enfonce dans mon cul d'un grand coup de rein inexorablement
lent.
Je sens mes entrailles s'écarter pour laisser passer son membre, je gueule et chiale de douleur comme un môme. Lui râle de plaisir à mon oreille, j'éjacule sur son lit tandis qu'il ressort pour
s'enfoncer de nouveau. Un troisième aller-retour et je sens son corps dominateur jouir tandis qu'il crache sa semence planté au plus profond de moi.
Il retombe. Nous sommes couverts de sueur. Lui reste planté dans mon cul, satisfait de ma docilité.
- T'as aimé salope?
Il me retire le slip de la bouche. Heureux je lui répond:
- Oui Kader.
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à suivre... Kader va l'offrir à ses amis, il le travestit : rouge à lèvre, jupe, bas, sexe rasé...
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