trips et fantasmes

Samedi 19 janvier 6 19 /01 /Jan 18:54

 

" Veste et pantalons retroussés. Avec ses doigts, habilement, Norbert enduisit de salive sa queue.

- C'est comme ça qu'tu m'plais !

Norbert l'écrasa. Il pénétra tranquillement, jusqu'à la base de la verge, jusqu'à ce que son ventre touchât les fesses de Querelle qu'il amenait contre soi de ses deux mains soudain effroyables et puissantes, passées sous le ventre du marin dont la queue, cessant d'être écrasée sur le velours du lit, se redressa, battit la peau du ventre auquel elle était enracinée et les doigts de Norbert indifférent à ce contact. Querelle bandait comme bande un pendu. Doucement, Norbert fit quelques mouvements appropriés. La chaleur de l'intérieur de Querelle le surprenait. Il s'enfonça davantage avec beaucoup de précaution, afin de mieux sentir son bonheur et sa force. Querelle s'étonnait de si peu souffrir.

-" I' m'fait pas mal. Y a pas à dire, i' sait y tâter."

Il sentait venir en lui et s'y établir, une nouvelle nature, il savait exquisement que se produirait une altération qui faisait de lui un enculé. Ses pieds ayant glissé, son ventre s'écrasait à nouveau sur le bord du divan. Il tendit les fesses en arrière.

- "C'est maintenant que je vais y passer."

querelle-sodo.jpg
Se redressant légèrement sur les poignets, il tendit encore plus énergiquement les fesses - au point presque de soulever Norbert- mais celui-ci mit toute sa vigueur à l'écraser et soudain, en tirant à lui le matelot qu'il venait d'empoigner sous les épaules, il donna une secousse terrible, une seconde, une troisième, jusqu'à six qui s'espacèrent en s'atténuant dans un total affaissement. Au premier coup qui si fort le tuait, Querelle geignit doucement d'abord, puis plus fort, jusqu'à râler sans pudeur. Querelle déchargea dans le velours. Norbert ne bougeait plus. Sa mâchoire s'ouvrait, se desserrait, relâchant un peu la nuque qu'au moment du spasme il avait mordue. Enfin la masse énorme du tôlier, avec d'infinies délicatesses, se retira de Querelle. Il se redressa. Il n'avait pas lâché son ceinturon.
extrait de "Querelle de Brest" de Jean Genet - 1947
Par Monluc - Publié dans : trips et fantasmes - Communauté : VIVRE TOUS SES FANTASMES
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Samedi 23 juin 6 23 /06 /Juin 14:06
les fameux trois jours, en caserne, loin de chez soi, à l'oip, à la queue leu leu pour l'examen médical, un flacon d'urine à la main ... beau moment d'humiliation collective ...

Contrôle de l'aptitude physique des recrues à l'incorporation : sur 10 000 recrues, 2 à 3 % sont en général réformées lors de l'incorporation. L'aptitude au service militaire est déterminée par le Centre de Recrutement et de Sélection. Sa mission consiste à fournir l'équipement militaire individuel aux nouvelles recrues et à les initier à la vie militaire. Les recrues sont réparties dans leurs compagnies respectives où elles sont invitées à remplir un questionnaire médical. Toutes les recrues sont vues par un médecin afin que leur aptitude au Service soit vérifiée. Les causes de réforme les plus fréquentes sont  les problèmes psychiques (28%); lesaffections de la colonne vertébrale (28%) et des membres (54%), le plus souvent par traumatisme; l'asthme (9%); les affections organiques du système nerveux (5.7%) et le poids excessif (4.1%).


Par Monluc - Publié dans : trips et fantasmes - Communauté : VIVRE TOUS SES FANTASMES
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Samedi 23 décembre 6 23 /12 /Déc 10:14

( J'avais répondu à son annonce. Je connaissais juste sa voix au téléphone. Mon dressage commençait ce soir. Il m'avait donné le nom de la station de metro ou je devais me rendre juste avant 23h00.... )

(...) Mon nez est collé sur la bosse de son jean usé. Je respire une odeur lourde de sexe et de sueur...
Je ne peux pas bouger la tête car il me la maintient en me plaquant fortement ses deux mains sur mes oreilles. J'ai des difficultés à respirer. "Allez à quattre pattes, tu vas bouger ton arrière-train comme une chienne qui sent la queue - oui c'est ça ! Tu es en chaleur - tu appelles le mâle avec l'odeur qui sort de ton cul graissé - bouge tes fesses ! bien - tu es une bonne chienne! un bon bâtard même vu ce qui pendouille entre tes jambes."

D'une main, il me saisi violemment la bite et les couilles. Il serre et me les tire comme si c'était la queue d'un chien qu'il voulait redresser. "Mais t'as la bite d'un queutard ! à quoi cela te sert dis ma salope, tu dois pas faire beaucoup de mal avec celle-là !" Il tire encore. Je pousse un gémissement. "Ta gueule ! Commence pas à chialer !" En même temps que sa main lache mon paquet, je reçois une claque sur l'arrière du crâne. "à genoux les mains sur la tête !"`J'obéis. Soumis à ses ordres, je regarde devant moi. De crainte, je n'ose pas lever les yeux. "Tu n'es qu'un bâtard et si tu ne le sais pas encore je vais te l'apprendre !"

Un crachat vient s'écraser sur mon front. Il dégouline le long de mon visage. Je le sens au bord de ma lèvre. "avale !" J'hésite un moment. "avale bâtard!" J'obéis. Avec ma langue je vais chercher le crachat qui coule sur le bord de ma bouche. Je l'avale et je déglutis. Quelque chose se passe en moi. J'ai accepté ce qu'il m'a demandé. C'est donc cela être soumis à la volonté d'un autre.

Il se rapproche. J'ai maintenant le visage à la hauteur de sa braguette. Je vois la bosse que fait sa teub. Elle semble longue est large, elle déforme la poche de son fût. Il laisse sortir sa queue. Elle est grosse et elle pend lourdement mais il bande à peine. Je dois le décevoir. Sa main saisis ma nuque. "Tu voulais de la pine, en voilà - lèche maintenant, lèche la bien."

Les mains sur la tête, j'approche ma bouche grande ouverte de cette lourde queue. Je sors ma langue et je lui léche la bite sur tout son long. Elle sent le mec. Un relent chaud et lourd. L'odeur d'une queue enfermée depuis plusieurs heures dans un slibard avec un mélange de sperme et d'urine. Et puis je sens aussi l'odeur caractéristique du cul ... Je trique.
"Elle sent le trou de la petite pute que j'ai enfilé cet aprem. Une bonne petite chienne comme toi, bien humide aussi. Tu sens l'odeur de son cul hein ! Eh bien enfourne-là maintenant !" Il me prend par les cheveux d'une main et de l'autre m'enfonce sa queue dans la gorge. Il l'enfonce si profond que j'ai envie de dégueuler. Mais il la retire et me la remets aussitôt. Je ne respire plus. J'ai l'impression d'étouffer et sa queue pilonne ma bouche, écarte mes lèvres.

Je la sens grossir. Elle est dure, raide maintenant. Je la veux ailleurs que dans ma bouche. J'aimerais qu'elle me déchire le cul. Mais pour l'instant elle me remplit que la bouche.

Je sens mon maître qui se penche sur moi. Il remonte vivement le tee-shirt qui pend sur mes fesses. Il cherche mon trou.

"Cambre le cul salope." Deux ou trois doigts me pénétrent en même temps.

"Tu mouilles du cul ma parole ! La chatte humide et chaude - on ne le dirait pas quand on voit ta gueule de premier de la classe !"
Soudain il retire sa queue de ma bouche. Me tire par les cheveux et me force à le regarder. "Mais tu suces mal ! Rien à voir avec la chienne de cet après-midi."

Par Monluc - Publié dans : trips et fantasmes - Communauté : VIVRE TOUS SES FANTASMES
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