
- C'est de la pisse.
- De la pisse à qui ?
- C'est la mienne. C'est ma pisse.
- Et ça ?
- C'est de la mouille?
- Ca t'a plu de t'exhiber comme ça?
- Faut croire.
- Remets-toi en position contre le mur.
Franchement, j'étais étonné d'obéir comme ça. Je ne me reconnaissais pas.
J'ai senti son doigt partir de ma nuque et descendre tout mon dos. Je savais qu'il irait jusqu'à mes fesses et j'avais pas envie de le laisser aller par là. Quand son doigt est arrivé au bord de ma raie j'étais pas à l'aise. J'ai plutôt serré les fesses. Il a essayé d'écarter un peu mais j'ai pas lâché et il a pas forcé.
Il m'a dit : de toutes façons tu vas t'ouvrir, je fais le pari qu'il suffit d'attendre.
Aucune de mes meufs n'a jamais vu mon trou du cul, et personne d'autre d'ailleurs. Et là, c'était bizarre mais j'avais envie qu'il le regarde, qu’il l’ausculte. Je savais pas pourquoi mais ça m'excitait.
Avec son pied, il a écarté les miens et mes jambes se sont écartées de 50 ou 60cm. J'étais plus stable au sol. Il a pris mes couilles dans une main et les a ramenées par derrière. Ca tirait ma teub vers le bas, devant moi. J'avais toujours une super trique et je mouillais. J'avais l'impression d'être un animal qu'on allait traire. Je me suis senti bien. Entre ses mains. La peur que j'avais s'était transformée en confiance. J'adorais être comme ça, mes couilles dans sa main. Je pouvais m'en remettre à lui et il s'occupait de moi. Je me détendais. Je sentais mon cul moins serré et cette zone la plus intime de mon corps devenait très présente dans ma tête. Il a pris une de mes Nike et il a attaché le lacet autour de mes boules, pour les isoler du reste de mon corps. Puis il l’a lâché et je me suis retrouvé avec ma Nike qui pendait entre mes jambes, accrochée à mes couilles qu'elle tirait un peu vers le bas.
Il m'a laissé encore un moment comme ça. Moi, j'étais devenu super excité. Ca allait trop lentement j'avais envie de me branler et de jouir vite. Mais il me faisait toujours attendre. Je regrettais même d'avoir serré les fesses tout à l'heure. J'avais envie qu'il revienne sur mon cul. Mais j'aurais pas osé le dire. Seulement je sentais que c'était mon fion qui appelait le plus à ce qu’on s’occupe de lui. J'avais même envie d'approcher mes doigts, alors que je ne me suis jamais intéressé à cette zone. Je me suis même pas doigté plus de deux ou trois fois dans ma vie et c'était plus par curiosité que pour me branler.
Enfin il a de nouveau approché sa main. Elle frôlait mon cul et ça m'a chauffé à mort. J'étais prêt à gémir, il a fallu que je me retienne. J'avais envie de lui dire d'y aller. Il a écarté mes fesses avec deux doigts. J'ai senti de l'air contre mon anus. J'étais content qu'il soit comme ça, à l'air, et j'étais content de lui montrer. Il a passé son doigt sur la rondelle. Ca me faisait vraiment frémir.
Il était très près de moi. Je sentais son souffle. « alors, tu vois ? Quand je te disais que je saurais te soumettre ». Je restais silencieux mais dans ma tête je lui répondais : « vas-y, fait comme tu veux. J'ai lâché ma pudeur et je me donne complètement. Dis-moi encore ce que tu veux voir de moi. Je te laisserai tout voir ».
Il est parti chercher un objet, en me laissant dans ma position, debout devant le mur, les couilles tirées vers le bas par ma sket. Il est revenu avec une matraque en caoutchouc dur, longue. Elle me paraissait énorme parce que je suis pas habitué à ce genre de plan vu que j'en ai jamais fait. Et bien sûr, je suis vierge du cul. C'était pas dur pour moi de le défendre, ni de défendre ma réputation.
Il a brandi la matraque devant ma bouche pour que je la suce. Je n'ai pas ouvert la bouche. Il m'a dit : « écoute je t'oblige pas à parler. Mais j'aurai une réponse selon ce que tu décides. Soit tu la suces et je te la mets avec douceur. Soit tu refuses et je te la mets sans ménagement et à sec. De toute façon tu vas l'avoir dans le cul. Donc tu choisis ».
Il a tenu la matraque à porté de ma bouche. J'étais pas décidé à me laisser la mettre, c'est pour ça que j'hésitais. Au moment où j'ai senti qu'il allait la reculer, j'ai ouvert la bouche pour accepter. Il me l'a donné à lécher, puis à sucer comme une bite. J'ai mis beaucoup de salive. Je sentais bien que j'étais en train de me soumettre à cet objet. J’avais la bite tellement en érection depuis le début que ça me faisait mal.
Il a posé le bout de la matraque sur le bord de mon fion. Je me suis laissé plaquer contre le mur et j'ai senti qu'il poussait doucement, et que la matraque glissait tout seul à l'intérieur. Je sentais que ça m'écartait doucement. Au début ça faisait mal mais il l'a retiré un peu puis renfoncé. C'était trop bon comment ça m'écartait. Très vite j'ai eu envie de l'avoir entière. Mais je ne crois pas qu'il ait enfoncé plus de 10 ou 15 cm. J'avais envie de gémir aussi et je crois bien que j'ai gémis un peu. En tout cas je respirais fort et j'étais bien. Comme rempli.
Je m'en suis surtout rendu compte quand il l'a retirée. Ca me manquait. Il a voulu que je la lèche, j'ai pas voulu. J'avais trop envie de l'avoir de nouveau. J'ai murmuré : « remets la dans mon cul». Il m'a répondu : « Si je veux ! ». Puis il m'a dit que je pouvais me doigter en attendant si j'avais trop envie. Mais avec au moins deux doigts. Il m'a dit : « a partir de maintenant, même si tu le fais seul, t'as plus le droit de te doigter d'un doigt. Tu dois toujours commencer au moins avec deux ».
Je me suis vu en train d'essayer de me doigter par derrière, la basket entre les cuisses. J'ai eu honte et là, en écrivant, j'ai quand même honte d'avoir été aussi loin dans un truc qui, pour moi, est vraiment hard. Mais en même temps qu'elle trique j'avais depuis le début... De plus en plus dure, de plus en plus mouillée.
J'ai pu mettre mes deux doigts. Mais ça faisait pas pareil. Au bout d'un moment, il a pris mon bras et a tiré violemment dessus pour extraire mes doigts et me laisser de nouveau sans rien. Il m'a redonné la matraque à sucer. Cette fois, je l'ai fais. Et il me l'a remise. C'était vraiment incroyable comment je me sentais remplis quand je l'avais. Il l'a fait aller dans des zones qui m'excitaient trop, parce que c'est un expert du corps ce mec et il sait apparemment plein de trucs. Il m'a fouillé le cul avec la matraque et un moment, j'étais trop excité, j'ai juté contre le mur sans même toucher ma teub ou mon gland. Je croyais même pas que c'était possible.
J'ai trop jouis. Y en avait plein le mur. Il avait l'air content pour moi. Il m'a détaché les couilles. Et je me suis assis par terre contre le mur, près de mon sperme. Il m'a laissé un peu tranquille. J'ai réfléchis. Je me sentais pas mal. En tout cas, je me sentais toujours aussi viril qu'avant. J'ai pas eu du tout l'impression d'être changé en meuf, au contraire. J'ai trouvé ça super masculin de jouir comme ça. J'étais bien. Je me suis juste couvert la teub avec mon survet.
Quand il est revenu, il m'a regardé et il a pointé son doigt sur le mur pour me montrer mon sperme qui avait coulé. J'ai pris ça pour un ordre de nettoyer. J'ai léché mon sperme sur le mur. Je l'ai fais avec application. J'avais vraiment envie de lui faire plaisir. En me soumettant.
Je crois que dans la foulée, j'aurais pu le sucer. Il ne me l'a pas demandé. J'ai cherché ce que je pourrais faire pour lui faire plaisir. J'ai écarté le survet pour lui montrer ma teub qui rebandait. Et je me suis branlé devant lui, sans rien dire, en lui montrant vraiment le plaisir de ma queue, de mon gland, de mes couilles. En le laissant vraiment tout voir de cet acte d'intimité. J'étais heureux de lui montrer. De m'exhiber sans pudeur devant lui.
Ca fait deux semaines, et j'ai pas encore osé le revoir, même dans un contexte normal. Je sais pas si j'ai envie de le refaire. Pour moi ça a été fort, mais c'est pas l'image de moi que j'aime avoir. Ce qu'y me gène c'est que je dois garder ça pour moi. Je peux en parler à personne autour de moi. C'est pour ça que j'ai eu envie d'écrire ça ici. Wadji
Commentaires